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 Elliot Westllington - massif comme la montagne et imprévisible comme le vent~[Terminé]

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Elliot Westllington - massif comme la montagne et imprévisible comme le vent~[Terminé] Empty
MessageSujet: Elliot Westllington - massif comme la montagne et imprévisible comme le vent~[Terminé]   Elliot Westllington - massif comme la montagne et imprévisible comme le vent~[Terminé] EmptyMar 30 Oct - 19:01

Identité
Informations Physiques

Nom : Westllington
Prénom : Elliot
Age : 25 ans
Pays d'origine : Pays de Galles
Rang social : Fils d'aristocrate Texte
Profession :Professeur d'éducation physique et sportive
Clan : Ne n'appartiens à aucun clan ces inepties ne m'instéresse pas
Pourquoi ce clan : Vous vous obstinez ou quoi ? JE NE FAIS PARTI PAS D'UN CLAN ?! Compris ?

Personnage de l'avatar : Sir Crocodile-One Piece
Couleur des yeux : doré
Couleur des cheveux : Brun
Coupe de cheveux : Long rabattu en arrière
Poids : 110 kg
Taille : 1m95
Corpulence : Musclé


Descriptions


Caractère : A la fois calme et volcanique~


On dit que même les plus grandes montagnes ont une faille en elle. Pour moi c'est évidemment la même chose. Je suis un roc qui semble indestructible un immense rocher que même le feu d'un volcan ne pourrait briser mais, car il y a un mais j'ai mes faiblesses. Tout d'abord, étant donné que je ne veux pas user de la violence bien souvent je dois me retenir. Combien de fois on m'a défié avec arrogance, se pensant malin et rapide face à moi et que même en leur parlant rien ni changeait. Je suis versatile alors ne jouez pas trop avec le feu, car si mon poing s'abat sur vous de ma hauteur cela risque de faire quelques dégâts. Si vous désirez jouer au con si je puis dire, je vous jure que vous allez devoir vous lever tôt pour me battre, car je saurais garder mon calme à condition qu'on me le permet. C'est grâce à cette qualité que je peux savoir mes capacités à gérer une future classe d'énergumène. Devoir gérer la cohue dans une salle de cours, mais aussi savoir canaliser les têtes brulées rapidement pour ne pas qu'il se pense meilleur que tout le monde. Après tout un bon coup de pied aux fesses ne leur fera pas trop de mal et ça les rendra plus humble et moins imbu d'eux-mêmes. Certains penseront que par cette volonté de les rendre meilleur je cache le fait que je n'ai pas tout réussi dans ma vie et pour d'autre je serais une preuve d'honneur. D'abord, je dirais au premier qu'avant de me juger, ils devront faire autant que ce que j'ai dû subir et aux autres que je ne mérite pas d'honneur simplement un peu de respect. À vrai dire si j'avais été un jeune élève je serais devenu un Ares. Je possède la force le caractère, mais aussi l'aura dirons-nous ainsi que la capacité et la sincérité des Ares. Même si j'avouerais que je n'aurais pas été le meilleur des Ares. Je reste assez humble et neutre pas comme les Ares après tout. Parfois si humble et neutre que je parais sans coeur. C'est à la fois une qualité et un défaut majeur.

Si je devais vous faire une sorte de listing de mes qualités je dirais que mon intelligence même si elle est bien cachée derrière cette masse musculaire est ma principale qualité. Vous savez comme beaucoup de professeur de sport, j'ai dû faire des études. Lors de mes études en littérature, j'ai pu passer du temps avec les plus grands écrivains et dramaturge de tout temps. Cela semble peut-être idiot, mais parfois un bon vieux Shakespeare n'a que peu d'égal. Tout au long de mes études j'ai donc pu étoffer que ce soit ma culture, mais aussi ma façon de parler. Je n'irais pas jusqu'à dire qu'avant de faire littérature je parlais comme un chartrier mais c'était tout comme. J'avais autant d'élégance dans ma syntaxe grammaticale et dans mes paroles qu'un pachyderme à sa place dans un magasin de porcelaine. Je ne pourrais peut-être pas vous dire de tête la nomenclature d'un produit ou encore la théorie de la relativité, mais sur la littérature je reste assez incollable. Cela a développé ma culture bien plus facilement que l'école elle-même. Bien sûr il n'y a pas que mon intelligence qui prône ma vie, mon écoute également. Je me fiche royalement de savoir s'il y a des conflits de clans dans cette école je suis là si l'on a besoin d'une oreille à qui se confier. Je ne me proclame pas exemplaires au vu de ma jeunesse, mais je suis tout de même assez responsable de vous pour savoir que je n'ai aucun intérêt à révéler ce qu'on me confie du fond du coeur ou non. Je suis après tout un professeur je dois donc en un sens leur montrer l'exemple. Par la suite à eux de décider si oui ou non ils veulent suivre le dit exemple que je leur montre. Je suis si sincère que si vous réussissez à me pousser à bout, ce qui relève du miracle ou non vu ma réaction par la suite je serais plus que sincère. Je vous dirais vos quatre vérités avec dureté et froideur. Parfois j'ai des doutes de savoir si cela est vraiment une qualité ou un défaut. En tout cas je sais que mon respect surtout vis-à-vis des femmes est une qualité. Que vous soyez petite timide et plate comme une limande ou grande pulpeuse et au balcon fournis mon comportement ne changera que très sensiblement. Pour moi à mes yeux d'hommes vous ne serez jamais des vulgaires morceaux de viandes. J'avouerais même que ces petits irrespectueux qui voient en vous des objets ne méritent que de se recevoir mes poings dans le visage sans autre force de procès. Quelques sois les origines, nous venons tous d'une femme qui nous a mis au monde alors autant vous respecter sacré bon sang ! Et mon respect ne changera même pas si vous m'insultez ou tenter de me frapper. Je dis bien tenter, car je ferais en sorte de vous stopper rapidement sans devoir frapper. Ne l'oubliez pas mes demoiselles et mesdames je ne vous veux aucun mal, moi. Dernier point je suis assez vif d'esprit alors si vous voulez jouer avec moi à des jeux d'argent soyez rapide, car je ne vous raterais pas.

Ce qui vient bien souvent après les qualités ce sont les défauts. Bien que je garde un calme plat et sans faille il m'arrive parfois que le calme laisse place à la tempête, mais très rarement en présence d'une personne extérieure. Hélas quand le lien se brise je deviens si volcanique que les meubles et autre en prennent un coup au passage. Impulsif comme l'ouragan, mais qui se calme comme une brise légère c'est une phrase qui me définit assez bien. Comme défaut je pourrais ajouter également ma sincérité virant à une grande franchise, tel que j'ai expliqué plus haut si je suis poussé dans mes derniers retranchements je deviens si sincère que j'en deviens brutale et cassant. Hors cela est tout sauf la meilleure des choses pour qui que ce soit. À cause de mon enfance j'ai quelques problèmes parfois à gérer mon stress vis-à-vis des personnes que j'arrive à apprécier au point de m'en faire tellement pour eux que j'en deviens anxieux comme personne. Limite chiant, car j'insiste lourdement pour savoir où elle est la personne pour qui je m'inquiète. J'ai également peurs bien souvent quand je me trouve en présence de personne qui me semble frêle ou fragile de littéralement les casser. Bien souvent cela m'arrive quand je suis en présence d'une femme. Je ne les vois pas fragile, mais vu que je suis grand et que je prends pas mal de place la peur reste présente. Une dernière chose, je suis un grand fanatique de la pluie. Combien fois j'ai passé des soirées sous la pluie à rentrer chez moi trempée jusqu'à l'os tout ça pour profiter de la sensation de l'eau sur la peau et du bruit des gouttes qui tombent. Évitez de m'en empêcher sinon je serais très peu agréable.

Physique : Le haut de la montagne~


Tracez une ligne sur cette feuille blanche et dites-moi ce que vous voyez. Une simple ligne pour certain ou le début d'un immense chef-d'oeuvre aussi retentissant que les peintures de Léonard de Vinci pour d'autre. Dans la vie les apparences ne sont que frivolité et sont insignifiante. Après tout le proverbe dit bien qu'on ne dois pas se fier aux apparences ou à la couverture d'un livre. Avec moi n'oubliez jamais cela. Du haut de mon mètre quatre-vingt-cinq, je surplombe le petit monde et m'en satisfait largement. Le petit monde c'est-à-dire les personnes qui m'arrivent sous les épaules ce qui constitue beaucoup de monde, ne sont pas forcément pauvres à mes yeux. Je suis aussi massif que ma force le prouve. Je ne vais pas me vanter de déplacer seul un camion, car même si je suis lourd et assez musclé je ne suis pas bourré de testostérone ou encore la force de Hulk. Humain des pieds à la tête même si ma taille le prive très peu. Hélas je n'ai pas toujours été aussi imposant au niveau du gabarit. Ah... si vous m'aviez vu dans mon « jeune temps » je n'étais pas plus haut que trois pommes et aussi rachitique que ridicule. À force de recevoir plus que je recevais j'ai décidé de me forger le corps et l'esprit. Au fil du temps le jeune Elliot à laissait place à l'homme que je suis aujourd'hui qui de ses 110 kg de muscle n'a jamais lâché prise. Si je dois passer à un autre point de ma personne je dirais que ma chevelure a toujours été significative pour les gens que j'ai côtoyés. On m'a dit un jour que cette coupe que j'avais adopté me rendait plus imposant et plus sérieux, malgré que je ne puisse y croire. Mes yeux dorés et perçant ne reflètent que très peu d'émotions ce qui d'après moi est fort dommage au vu de mon caractère versatile, qui pourrait intéresser plus d'un (e) curieux (euse). Je ne possède pas un sourire ravageur qui m'apporterait des demoiselles à mes pieds sans mal et cela est aussi bien. Cela m'oblige à bouger et à user du peu de charme que j'ai pour conquérir et séduire. Bien souvent sur mon visage on remarque cette cicatrice que j'arbore au niveau du nez et qui traverse horizontalement mon visage, je tiens à vous le dire en toute honnêteté je la dois à un père riche et maladroit. Il était aussi épéiste que le plomb léger. J'ai eu le malheur d'être au mauvais moment au mauvais endroit. Par bonheur on va dire ce ne fut que la pointe de la lame qui me toucha sur plusieurs dizaines de centimètre sur le visage. Maintenant vous savez pourquoi on me surnomme parfois le balafré. Ma voix rauque, mais calme laisse parfois les gens assez dubitatifs, non pas que le timbre de ma voix ne me caractérise pas au vu de mon gabarit mais c'est surtout son calme. Même énervé comme pas possible ma voix ne bougera pas d'intensité et restera calme, je n'en dirais pas autant de mon comportement.

Pour poursuivre sur mon physique ma musculature est développée grâce aux sport que je pratique régulièrement, car après tout un prof de sport ventripotent ne serait pas de bon gout voyez-vous. Hélas comme de nombreux sportif de mon gabarit je suis obligé de compenser ma lenteur de mouvement par ma force et ma réactivité. Qui dit lenteur dit difficulté à riposter en cas de manque d'attention. Je dois en être conscient à chaque entraînement et à chaque fois que je combats. C'est surtout à ces moments-là que ma forte poigne, mes muscles, ma corpulence et ma brutalité me sont utiles après le reste du temps beaucoup moins. Je pourrais bien évidemment me servir de ma force pure pour commettre de nombreuses choses bien moins digne, mais je n'en vois pas l'intérêt surtout quand je vois le boulot que je veux faire à chacun de mes élèves. Vous ne verrez pas sur moi ni piercing ni tatouage. Pas pour une question d'esthétique d'éthique et j'en passe, mais surtout, car je n'en veux tout simplement pas. Je porte deux chevalières en argent une à l'index droit et une autre à l'annulaire droit. Elles n'ont pas vraiment de signification à part le fait que l'une est lisse comme le marbre et l'autre affublé de deux stries.

Du côté vestimentaire cela est plus varié. Quand il fait du mauvais temps je serais toujours en jean et chaussures de ville pointues ainsi qu'une veste et mon fidèle manteau de mafieu italien. Enfin c'est ce que l'on m'a dit plus d'une fois et cela m'amuse encore bien souvent. Quand il fait plus beau je sors des chemises aux couleurs plus chaudes et qui se marient bien avec le soleil, ainsi que des converses. Après tout même un géant peut s'habiller comme les jeunes. Je n'ai bien heureusement pas comme mes cousins anglais cette manie de faire un mélange de couleur qui vous réduirait votre rétine à l'état de trou noir. Je ne porte pas non plus de kimono et encore moins de déguisement, car moi et les déguisements nous ne sommes pas bons amis. En cas d'évènement plus exceptionnel vous me verrez arborer un costume trois pièces noirs et blanc rayé verticalement. Élégant sans en faire trop comme toujours.


Histoire


Informations

Âge d'arrivée à l'Académie : 25 ans en temps que professeur
Classe d'arrivée à l'Académie : Je ne suis plus élève donc cela dépendra de mon emploi du temps dans l'académie
Âge d'entrée dans le Clan : Les clans ne me sient pas.

Et si les muscles cachaient un cerveau?


Fils d'une roturière un peu bourrue et d'un aristocrate en mal d'affection, je suis né un 12 novembre 1987, un jour pluvieux sans trop de mal. C'est à ce qu'il parait la cause de mon fanatisme à la pluie, mais passons. Ma mère Helena Makensy donna naissance à un enfant aussi massif que sa matriarche à l'étonnement de son homme. Cet homme qui me fixait longuement était mon père William Westllington. Il avait trouvé en ma mère malgré son caractère en acier trempé et sa forte stature une femme avec qui il voudrait partager sa vie. À vrai dire à les voir se réunir cela affichait un tableau assez atypique d'un couple tout sauf modèle. Parfois je plaignais ma mère, car avoir un mari de son gabarit aussi maigrichon même pas fichu de faire grand-chose mis-à-part des dégâts, cela devait être assez difficile. Pourtant, au vu de ma naissance tout n'était pas si difficile à vivre je pense. Ce 12 novembre, je fus accueilli par les yeux abasourdis de mon cher père et le visage robuste, mais tendre de ma mère. Je ne vous dirais pas mon poids, car il vous étonnera et vous prouvera encore plus à quel point ma mère était une femme de fer et de chair si je puis dire. Dans ses bras je ne semblais pas le plus grand pourtant pour un enfant nouveau-né j'étais plus imposant que la moyenne.

Au fil du temps je pris de l'âge et de la corpulence. Que voulez-vous je tenais de ma mère qui adorait bien manger. Je n'étais pas gros, mais je dépassais mes camarades bien souvent d'une tête. Ce fut tout d'abord dans ma tendre enfance en primaire que cette constatation me vint. À cette époque j'arborais un visage au menton carré, des cheveux hirsutes et des habits parfois trop petits pour moi. Mes pantalons paraissaient pantacourt pour vous dire. En classe je n'avais pas vraiment de problème, car même si je n'étais pas une flèche je savais m'adapter comme il faut pour ne pas rater le train en marche. Je devais tenir de mon patriarche qui malgré son petit gabarit était un homme vif d'esprit et intellect. Il fallait bien qu'il compense tout le travail manuel que ma mère entreprenait à sa place. On pouvait dire qu'à la maison les rôles étaient inversés. Tout simplement parce que mon père était affublé d'une force digne d'une mouche alors que ma mère était massive et trapu. Ce qui ne l'empêchait pas pour autant d'être cultivée simplement qu'elle et lui ne venait pas vraiment du même milieu de vie à la base. Tout cela pour vous dire que je compensais un peu à la façon de mon père pour les cours. Le moment que je trouvais le plus éprouvant était la cantine, car premièrement je prenais plus de place que mes petits camarade, mais mangeais aussi beaucoup plus. Je recevais des insultes en tout genre critiquant mon estomac ou encore ma corpulence ou même me comparant à certains animaux friand de miel et de saumon si vous voyez ce que je veux dire. J'aurais pu tout bonnement les frapper pour leur irrespect vis-à-vis de moi et ce que j'avais hérité de mes parents, mais je préférais plier l'échine. Comme me disait mon père : « Il vaut mieux se taire pour ne pas s'abaisser aux inepties des incultes ». Or je respectais ce principe au pied de la lettre. Je dû subir ce traitement non amical jusqu'à mon arrivée dans ce que l'on peut considérer comme le collège.

Je ne dirais pas que je ripostais, mais plutôt que quelques évènements me firent changer du tout au tout. Tout d'abord, même si mes parents vivaient heureux et avec des moyens suffisant, ils restaient quelques dettes de jeux de mon paternel. Que voulez-vous il aimait tellement les jeux d'argent qu'il en oubliait parfois jusqu'à sa propre famille. Ma mère de son côté avait à force de se donner à fond pour faire tourner la maison, attrapé un mal incurable. Elle qui, à mes yeux était si battante et si robuste me semblait maintenant si fragile. Ayant perdu pas mal de poids ne mangeant que très peu elle était devenue méconnaissable. Comme si elle se laissait limite mourir à petit feu. Parfois je me demandais si c'était pour punir William, mon père, de ne pas avoir prêté assez attention à elle et à moi surtout. Les relations entre eux commencèrent donc à se dégrader. Et ce fut lors d'un des entraînements quotidiens et étonnants de mon père en escrime que ma cicatrice fut née. Arpentant comme bien souvent le weekend end la demeure familiale je vins observer père user de son talent d'épéiste. Par talent je veux parler de sa capacité à détruire une fois sur deux un objet de la salle où il pratiquait l'escrime avec une maladresse sans non. Pour une fois j'osais le regardait de plus près et surtout en sachant qu'il allait s'en rendre compte. Pas une pas deux trébuchant comme un empoté dans un somptueux tapis persan il me frôla le visage horizontalement sur le nez et les deux joues avec la pointe de sa lame avant de finir sa chute sur le parquet. Les rires causés par sa chute ridicule firent rapidement place à des cris de douleur à cause de la blessure. Bien heureusement la jeune nourrice et seule autre femme de la maison fut assez vive pour m'emmener me faire soigner. Je dû commencer le collège avec une cicatrice qui me traversait le visage le scindant limite en deux. Étrangement au fil du temps passé en plus de ma façon d'être mon corps lui aussi avait changé. Le jeune Elliott petit et un peu enveloppé fit vite place à un autre Elliott plus imposant et surtout plus grand. Même si je dépassais mes camarades d'une tête voir plus je ne me laissais plus faire. Je ne les frappais pas, car cela aurait été contre ce que prônais mon père à l'époque mais je leur faisais suffisamment peur pour voir la paix. Je dois vous avouer que même si j'étais plus impressionnant, avec les filles je restais un novice dans la matière. J'avais tellement changé que je pensais qu'entre mes mains ces nymphes allaient finir par se briser comme du verre, comme de la porcelaine. Cela était pourtant faux, mais je ne préférais pas prendre le risque. Ce comportement me fit passer pendant deux années complètes pour un solitaire asocial enfin sauf pendant les cours de sport. Quelques sois la discipline et l'adversaire je réussissais souvent à avoir le dessus surtout en lutte. Ce fut à la fin de mon collège et avec le soutien de plusieurs de mes profs de sport que je décidais de faire des études tout en participant à des compétitions de lutte. Je ne finissais pas toujours premier mais à chaque fois je faisais partie du podium.

Quand vint enfin le temps de faire des études plus poussées, j'appris deux tristes nouvelles. La première était celle de la mort de ma mère. Suite à mes compétitions, je ne revenais que très peu dans la demeure familiale et si la nourrice ne m'avait pas informé de la situation urgente je n'aurais même pas pu assister ma mère dans ses derniers jours. La voir ainsi me faisais de la peine, mais j'étais conscient que je ne pouvais rien faire de ce qui était en mon pouvoir pour éviter l'inévitable. Ce fut un 27 juillet 2004 qu'elle termina sa vie, proche des siens ; mais loin de l'image qu'elle aurait aimé laisser. J'assistais à son enterrement sans trouver mon père à ce dernier. Ce ne fut qu'une semaine plus tard que je retrouvai trace de lui. Cet homme intelligent et qui malgré sa maladresse avait su m'inspirer n'avait pourtant pas pu éviter de perdre tout à cause de ces jeux d'argent. Après une dispute quelques peu mouvementé, où par désespoir d'avoir perdu la mère dont j'avais encore besoin et par colère je l'avais envoyé valdinguer hors du bar ; je réussissais enfin à savoir tout ce dont j'ignorais. Il était indirectement la cause de la mort de mère qui par faute de moyen et à cause de grands efforts avait perdu la vie. Elle s'était tuée pour que la demeure de ce bedonnant maladroit intelligent, mais si bêta d'aristocrate tint encore debout. Il n'avait rien fait pour elle ! Rien mis à part la tuer à petit feu ! Frappant le sol à quelques millimètres de son visage je le laissais au beau milieu de la rue aux yeux de tous et apeuré. La seconde mauvaise nouvelle avait été sa mort. Même après ce qu'il avait fait, il restait mon père et de lui aussi j'avais eu encore besoin. Je m'en voulais plus que raisonnable, mais je devais coute que coute avancer.

Pour avancer je devais donc faire ce que je voulais plus que tout. Pendant plusieurs années j'ai donc fait en sorte d'obtenir ce que je désirais le plus c'est-à-dire un métier pour moi. Un métier qui me permettrait d'allier mon caractère et ma façon d'être. Cela me prit en tout et pour tout cinq bonnes années. Cinq ans pendant lesquelles je me suis forger que ce soit au niveau mental comme au niveau physique. Je garde des faiblesses comme tout le monde, mais elles sont mieux cachées. Au jour d'aujourd'hui de mes 25 années, j'entre dans l'Académie. Je suis armé d'un équivalent britannique du Deug de sport et peux enfin en toute logique, enseigner le sport à des élèves. Je veux leur apprendre le respect, la force de caractère, mais aussi l'humilité. Quelques sois les têtes brulées, manipulatrice et j'en passe sur lesquelles je peux tomber, une chose est sûre, si je suis le premier professeur en ses lieux je ne risque pas de démissionner de sitôt. Foi d'Elliot Westllington si vous voulez me faire plier l'échine je vous souhaite bien du courage.


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MessageSujet: Re: Elliot Westllington - massif comme la montagne et imprévisible comme le vent~[Terminé]   Elliot Westllington - massif comme la montagne et imprévisible comme le vent~[Terminé] EmptyJeu 1 Nov - 16:34

Bienvenu Elliot ( du courage c' est à toi que j' en souhaite pour gérer certains apprenti(e)s criminel(le)s...

Bon tout est en ordre, je te valide et te mets ta couleur, espérant que tu plairas parmi nous.
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